Si la performance sportive est un processus éminemment complexe et multi-factoriel, le mouvement nécessaire à la réalisation de cette performance est le résultat de la contraction du muscle et/ou de l’énergie transmise par les tissus élastiques (en particulier les tendons) aux leviers osseux [1Hauraix H., Nordez A., Guilhem G., Rabita G., Dorel S. In vivo maximal fascicle-shortening velocity during plantar flexion in humans J Appl Physiol 2015 ;  119 : 1262-1271 [cross-ref]

Cliquez ici pour aller à la section Références]. Le muscle représente ainsi le véritable « moteur » du mouvement humain. Il possède également de formidables capacités d’adaptations à son environnement. La compréhension du fonctionnement du système neuromusculaire et de sa plasticité au stress mécanique apparaît dès lors comme une des portes d’entrée évidentes de l’optimisation de la performance sportive. Nos travaux s’intéressent ainsi aux altérations (dommages) du tissu contractile induits par l’exercice [2Lacourpaille L., Nordez A., Hug F., Couturier A., Dibie C., Guilhem G. Time-course effect of exercise-induced muscle damage on localized muscle mechanical properties assessed using elastography Acta Physiol 2014 ;  211 : 135-146 [cross-ref]

Cliquez ici pour aller à la section Références] et aux adaptations neuromusculaires [3Guilhem G., Cornu C., Maffiuletti N.A., Guevel A. Neuromuscular adaptations to isoload versus isokinetic eccentric resistance training Med Sci Sports Exerc 2013 ;  45 : 326-335 [cross-ref]

Cliquez ici pour aller à la section Références] pouvant conduire à l’amélioration de la performance.